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United Nations High Commissioner for Refugees

Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés

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SUJET : Protecting the rights of refugees in the Covid-19 pandemic

Langue d'usage pendant la conférence : Anglais

PRESIDENCE DU UNHCR

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Introduction sur le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés

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The United Nations High Commissioner for Refugees is one of the organs of the United Nations. It was created in 1950 and its headquarters are in Geneva, Switzerland. The Italian diplomat Filippo Grandi is the current United Nations High Commissioner for Refugees. 

 

The organization was created after the Second World War to bring assistance to millions of Europeans that had left or lost their households. The UNHCR had three years to accomplish its task and was then supposed to disappear. The UNHCR is still active today to protect and assist refugees from the entire world.

 

The UNHCR’s first aim is to protect refugees, to then find a ‘sustainable’ solution to their problems and also to ensure the implementation and enforcement of the 1951 Refugee Convention. (Geneva Convention). In 1954, the UNHCR received the Nobel Peace Prize for its pioneering work in Europe. 

 

Today, we enumerate 900,000 asylum seekers, 800,000 returnees, 5,3 million internally displaced people, 400,000 displaced that came back home and 1,7 million other persons. 

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Last year, the UNHCR celebrated its 70th anniversary. During those decades, the organization has helped more than 50 millions of refugees to start a new life. However, 2020 also saw the Covid-19 pandemic and its impact on the living conditions of refugees. It is therefore crucial to make sure that the rights of refugees are ensured in face of the outbreak.

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Objectifs du MUN et enjeux de la conférence 

 

Chacun devra représenter un pays membre de l’organisation des Nations Unies au sein de cette Commission, en respectant la politique du pays donné, en endossant le costume de l’ambassadeur de ce pays et quelque soit la problématique. Tous ensemble, doivent trouver un consensus, qui respecteraient chaque politique étrangère des pays membres, quelqu’en soit le résultat !

L’objectif étant, à l’issue de cette journée, de trouver une réponse commune au sujet donné, soit : préparer une réponse globale au flux massif de réfugiés environnementaux.

 

La Convention de Genève de 1951, a toujours constitué l’une des activités centrales du HCR : ce que l’on appelle dans l’organisation la fonction de « protection », quand bien même son exercice conduit, sous le poids des contraintes politiques multiples qui s’exercent sur et dans le HCR, à ne protéger qu’une proportion décroissante et maintenant infime des exilés. Elle porte non seulement sur l'accès de certains exilés au statut de réfugiés mais également sur les bénéficiaires ou victimes de rapatriements forcés.

 

Cependant le HCR comme toute organisation est maillé de réseaux d’amitiés politiques ou personnelles et connaît des luttes d’influences entre ces réseaux. Ces concurrences internes sont sous-tendues notamment par une bipolarité politique de l’organisation entre la volonté des États financeurs du HCR et l’intérêt des exilés sollicitant une protection. Deux camps s’affrontent de manière feutrée au sein du HCR. Ce clivage est ancien ; dans le langage interne, cette divergence de sensibilité, est évoquée en qualifiant quelqu’un de « plutôt orienté protection » par opposition à « plutôt orienté donateurs »

 

L’activité de sélection des exilés tendant à départir le vrai du faux réfugié sur la base d’une définition très particulière, à la fois individualiste et restrictive, qui en fut donnée par la Convention de Genève de 1951, a toujours constitué l’une des activités centrales du HCR : ce que l’on appelle dans l’organisation la fonction de « protection », quand bien même son exercice conduit, sous le poids des contraintes politiques multiples qui s’exercent sur et dans le HCR, à ne protéger qu’une proportion décroissante et maintenant infime des exilés. Elle porte non seulement sur l'accès de certains exilés au statut de réfugiés mais également sur les bénéficiaires ou victimes de rapatriements forcés.

 

Dans cette vaste organisation qu’est le HCR, le rôle personnel du Haut Commissaire est primordial aussi sous deux aspects : il détient de facto un quasi-monopole de prise de parole officielle et marque ainsi fortement la communication publique de l’organisation ; en outre, son pouvoir de nomination aux postes supérieurs lui assure un pouvoir important sur les cadres supérieurs. Les possibilités de sanction implicite des attitudes politiques au sein de l’organisation sont considérables, notamment par la gestion des carrières qui crée des risques autant que des opportunités de se retrouver dans un pays très éloigné géographiquement ou socialement difficile à vivre

 

Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR voire HCR ou HCNUR dans l'espace francophone), basé à Genève, est un programme de l'ONU. Il a pour but originel de protéger les réfugiés, de trouver une « solution durable » à leurs problèmes et de veiller à l'application de la Convention de Genève sur les réfugiés de 1951.

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En 1956, lors de la révolution hongroise, 200 000 personnes se sont réfugiées en Autriche. Reconnaissant les Hongrois comme des réfugiés « prima facie », le HCR s’est efforcé de les réinstaller. Cette situation d’urgence et ses conséquences ont fait école en matière de gestion des crises de réfugiés par les organisations humanitaires pour les années à venir.

Dans les années 60, la décolonisation de l'Afrique a produit la première des nombreuses crises de réfugiés de ce continent. Les deux décennies suivantes, l'organisation a dû intervenir dans des situations de déplacement en Asie et en Amérique latine. En 1981, le HCR s'est vu de nouveau décerner le Prix Nobel de la Paix pour honorer son action désormais internationale en faveur des réfugiés.

Au début du XXIe siècle, le HCR est intervenu dans des crises de réfugiés majeures en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. Le HCR a également été sollicité pour aider de nombreux déplacés internes victimes d'un conflit, ainsi que des apatrides. Dans certaines régions du monde, comme en Afrique et en Amérique latine, le mandat d’origine de 1951 a été renforcé par des instruments juridiques régionaux.

Le HCR dénombre à présent 16 765 employés. L’agence travaille dans 138 pays et son budget initial de de 300 000 dollars la première année est passé à 6,54 milliards de dollars en 2016.

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